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Les portes ouvertes de l’académie des arts.

 Porteouverteacademie2017 - 2Les traditionnelles portes ouvertes de fin d’année ont permis  de montrer aux nombreux visiteurs les résultats des travaux des  élèves réalisés au cours de l’année scolaire. Outre l’intérêt des travaux présentés et le plaisir de la découverte d’imaginations, cette année fut marquée  par la première présence  des travaux de bijouterie. L’atelier de bijouterie a commencé en septembre 2016. Le succès est manifeste et la deuxième année prometteuse. Rappelons que les inscriptions pour cette année 2017-2018 ont lieu durant ce mois de septembre. https://academiedesartswsp.wordpress.com/                                                                              

Photo ci-dessus : Les enseignantes de l’atelier textile avec l’échevin et la directrice de l’académie  

Sport et culture, marions le développement de soi et la venue de l’art là où elle n’est pas attendue.

Petite nageuseUne fin d’année scolaire est toujours un moment de préparation de projets futurs. Dans cette perspective, une collaboration entre l’académie des arts et le centre sportif a été discutée lors des portes ouvertes.

Rappelons que déjà avec la politique d’acquisition d’œuvres d’art menée par ma collègue Caroline Persoons, la statue « La petite nageuse » de l’artiste Luc Peiffer, élève de notre académie, a été acquise et placée dans le solarium du centre sportif en regard de la piscine.

Visitant les ateliers lors des portes ouvertes de l’académie des arts, avec la directrice, Madame Buffenoir, et l’administrateur délégué du centre sportif, Monsieur Michel Naets, nous avons décidé de proposer aux élèves et aux professeurs de pouvoir utiliser des espaces au centre sportif pour présenter des travaux de nos artistes . La volonté communément partagée est d’ainsi offrir des possibilités d’exposition dans des lieux inattendus en vue de « mettre l’art, le beau dans la vie courante ».

C’est donc un défi multiple : utiliser des lieux à destination sportive, concevoir une exposition, valoriser l’art et répondre aux questions logistiques comme par exemple la sécurité.

Les lieux sont vastes et variés. Michel Naets comme administrateur délégué de ces lieux est ouvert à étudier tous les projets. Les potentiels de l’académie sont nombreux. Les ingrédients sont donc présents pour sortir l'imagination des placards et la mettre au pouvoir.placards et la mettre au pouvoir.  

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Photo : Visite des portes ouvertes de l’académie avec la directrice de l’académie Marie-Claude Bufenoire et l’administrateur délégué du Centre sportif Michel Naets

Photo : La petite nageuse

Allez les gosses 2017, une belle fête du sport.

L’événement important pour nos enfants ! La participation en fin d’année scolaire  à une des compétitions sportives de « Aller les gosses » permet à chaque enfant d’être un athlète, un sportif comme s’il était aux jeux Olympique.  Comme l’année dernière, c’est la participation et le dépassement de soi qui furent mis à l’honneur. Cette année, l’événement a accueilli avec plaisir un représentant de l’association des parents de l’école du Chant d’Oiseau, Monsieur Laurent Seghers.

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Photo ci-dessus : Jeunes lauréats avec Michel Naets du centre sportif, Laurent Seghers de l’AP du Chant d’Oiseau et l’échevin de l’enseignement

 

La distribution de fin d’année 2017 : une allure d’exception

Fin juin, la traditionnelle mise à l’honneur des enfants de nos écoles communales ayant obtenu leur CEB s’est déroulé dans l’auditorium du centre culturel. La « maîtresse » de cérémonie fut la directrice de l’école du Chant d’Oiseau, Madame Gisèle Monteville. Ce fut une belle occasion pour l’échevin de l’enseignement de déjà la remercier pour avoir mené toute sa carrière d’institutrice et de directrice dans nos écoles communales, surtout au Chant d’Oiseau. Madame Monteville prendra sa pension fin de l’année 2017. Les directions des autres écoles l’ont fleuri montrant ainsi à la très nombreuse assemblée d’enfants et de parents l’équipe qu’ils forment et l’importance de la reconnaissance et du remerciement. Belle démonstration éducationnelle.

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Photo : Madame Monteville fleuri par et avec les autres directions des écoles fondamentales à côté de l’échevin de l’enseignement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lettre à mes futurs petits-enfants.

Bonne gouvernance

Mes futurs chéris,

Nous voilà début juin, à 1 mois des vacances scolaires. Les mines commencent à se réjouir. Les journées s’allongent. Que la lumière et le soleil font du bien… Sur terre, malheureusement, le climat n’est pas bon. Les attentats font place à de nouveaux attentats, et les larmes des uns remplacent celles des autres. En cet été 2017, la Belgique, elle, est secouée par des scandales et des dysfonctionnements, assassins pour le monde politique…

Chaque jour ou presque, une nouvelle affaire éclate. L’on apprend ici que certains mandataires politiques se sont octroyés des avantages honteux et là que d’autres perçoivent des jetons de présence pour leur absence au conseil d’administration où ils siègent. Vous trouvez cela honteux ? Vous n’êtes pas les seuls, mes chers petits !

Dans la commune où je vis, et où vous vivrez, les élus communaux viennent de créer un cadastre des rémunérations des représentants communaux. Cela signifie que, désormais, la population connaîtra le salaire de ses représentants publics, et ce, quelles que soient les structures où ils siègent. Les Wolusanpétrusiens auront ainsi un contrôle sur le bon respect des règles en vigueur et sur l’absence d’indemnités ou avantages démesurés, et un regard sur le bon usage des deniers publics…

Je puis également vous assurer qu’il n’y a aucune fausse rémunération dans les asbl communales à Woluwe-Saint-Pierre. Toute rémunération est liée à un travail. Ainsi, notre échevine de la Culture, Caroline Persoons (DéFI), a proposé aux CA des asbl culturelles, le Whalll et le Centre culturel et de Congrès, de ne plus rémunérer les administrateurs-délégués, l’engagement d’un directeur ayant fortement allégé le travail de ces derniers.

Cette exigence de transparence, nous l’avons également appliquée chez DéFI. Depuis cette année, tous les mandataires exerçant un mandat rémunéré doivent déposer, pour le 31 mars de chaque année, une déclaration sur l’honneur reprenant toutes les rémunérations et avantages de toute nature liés à l’exercice d’un mandat durant l’année précédente. Nos 250 mandataires se sont pliés à l’exercice, sans rechigner… Comment pourrait-il en être autrement ? Nous n’avons rien à cacher… Les partis politiques ont l’autorité morale sur les leurs. Ne sont-ils pas les garants d’une vie publique digne et sans tache ?

Lorsque vous lirez ces quelques phrases, mes futurs chéris, j'espère que ces graines que nous avons plantées, auront donné naissance à un «vivre ensemble» majestueux, qui respecte tout le monde en tenant compte des particularités de chacun, et qui permet à tous de vivre dignement…

Les élus DéFI de Woluwe-Saint-Pierre

 

 

Ouverture au monde pour nos jeunes.

Ma politique d’ouverture au monde pour nos jeunes de 16 à 17 ans se traduit cette année par des projets dans quatre continents : Asie (Chaoyang à Beijing en Chine), Amérique (New Iberia en Louisiane – Etats-Unis), Afrique (Sénégal avec le chantier Mbouloum) et Europe (Pecica en Roumanie).

Quatre jeunes iront vivre en juillet l’expérience américaine dans notre commune jumelée de New Iberia. En outre, deux jeunes sont invités à suivre un stage d’ouverture à la culture chinoise à Chaoyang, stage qui accueille des jeunes de 14 à 18 ans de Chine et du reste du monde. Par ailleurs, après une préparation d’un an, sept jeunes de la cité de l’Amitié et deux animateurs iront à Pecica dans la perspective d’apprendre la différence et l’ouverture à l’autre.

De belles expériences dont on reparlera avec nos «diplomates en herbe».

Enfin, pour la deuxième fois, une école de Woluwe-Saint-Pierre, l’institut technique et professionnel  Don Bosco avenue du Val d’Or, a participé à l’opération «Move with Africa» avec un soutien financier de la commune.

Le choc des stéréotypes et la rupture des préjugés.

L’ouverture au monde, c’est l’apprentissage des chocs de stéréotypes.

L’exposition «Toubab Toubab» de l’institut Don Bosco, qui a eu lieu dans la salle des guichets à la maison communale en mai, en a été un parfait exemple.

Tout d’abord, les stéréotypes par rapport au Sud s’effondrent ou au moins sont fortement revus grâce à ce voyage d’ouverture à l’autre et à sa culture, d’ouverture à la coopération et d’ouverture à des questions fondamentales de la vie comme celle du bonheur.

Ensuite, le regard sur l’école technique et professionnelle change. Les élèves parfois aux allures peu susceptibles de rassurer ont mené à bien une expérience de vie exceptionnelle, source de nombreux apprentissages. Ils ont conçu et réalisé de manière professionnelle une exposition de grande qualité tant dans la prise des photos que du montage (chevalet, impression, éclairage,…) de l’exposition. L’image de l’enseignement technique et professionnel en sort grandie.

Si l’exposition fut un festival de couleurs et de lumière apprécié par la population se rendant à la maison communale, elle fut surtout la remise en cause de stéréotypes.

Le projet des jeunes de la Cité de l’Amitié s’inscrit dans la même logique. Ils partiront avec des photos de leur quotidien, de leur quartier pour les exposer à Pecica avec des photos de jeunes Roumains sur la même thématique. Cette exposition est le moteur des échanges, de l’ouverture à l’autre et aux différences et la déconstruction des préjugés.

  

     Ouverture aux cultures, de grande modernité à la simplicité.

Le burn-out, une véritable maladie professionnelle à mieux encadrer !

L’année dernière, en Belgique, plus d’un employé sur 7 a fait un burn-out, cet épuisement dû à une longue exposition au stress au travail. Selon l’INAMI, 80.000 Belges en souffriraient chaque année… En moyenne, les personnes victimes d’un burn-out restent 189 jours chez elles ! Des chiffres qui donnent le tournis et qui prouvent qu’il s’agit d’un vrai problème de santé publique, dont notre commune de Woluwe-Saint-Pierre est bien consciente…

Peut-être avez-vous assisté, fin de l’année dernière, au cycle de trois conférences sur le sujet, organisées à l’initiative de l’échevin Serge de Patoul, en charge de l’éducation permanente. Cette thématique s’est également invitée en février dernier, à son initiative encore, au Parlement francophone bruxellois, dans le cadre des Jeudis de l'Hémicycle, lesquels abordent des questions d'actualité, de santé ou de société, essentielles aux citoyens bruxellois. L’occasion de recueillir l’expérience et les conseils de deux experts en la matière, le psychologue David Vandenbosch et le psychiatre Nicolas Clumeck.

Pas encore une maladie professionnelle

En 2016, le burn-out devient une maladie liée au travail ; cette reconnaissance permet de mettre sur pied des programmes de prévention financés par l’Etat… Un pas dans la bonne direction, certes, mais il importe d’aller plus loin : reconnaître ce syndrome d’épuisement comme une maladie professionnelle, ouvrant la voie à des indemnités pour le travailleur et à une reconnaissance de sa souffrance par son entourage. Un texte va prochainement être déposé en ce sens à l’initiative de députés bruxellois DéFI.

Des propositions pour Woluwe-Saint-Pierre

Notre administration communale n’est, bien sûr, pas épargnée par ce mal. C’est la raison pour laquelle DéFI Woluwe-Saint-Pierre plaide pour la mise en œuvre de campagnes de prévention au sein du personnel. Il s’agirait, par exemple, de cibler les personnes à risque et celles en burn-out, et de leur offrir un accompagnement en coaching. Les deux spécialistes que nous avons rencontrés proposent un éventail d’autres pistes : optimiser les conditions de travail, renforcer le soutien social, la confiance mutuelle, la reconnaissance des efforts, favoriser un changement de la personne quand les conditions de travail sont mauvaises, créer les conditions de son retour à l'emploi…

Vu la recrudescence généralisée du burn-out, il est impératif de mettre rapidement en place certains garde fous. C’est la raison pour laquelle nous prônons l’amélioration de la collaboration entre la médecine du travail et les professionnels de la santé qui traitent le burn-out, dans une optique de réseau de soins. Et le renforcement de la sensibilisation des employeurs à la problématique du burn-out. Pour Woluwe-Saint-Pierre, nous y veillerons !

Les élus DéFI de Woluwe-Saint-Pierre