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Crèches, enseignement, jeunesse et académies

{{{ {{Notre évaluation de la situation actuelle}} }}} Woluwe-Saint-Pierre est en matière de crèche la deuxième commune bruxelloise la mieux pourvue en places d'accueil. Les parents qui ont des enfants de 0 à 3 ans et qui désirent se libérer quelques heures par semaine ont la possibilité de placer leur enfant sous surveillance à la halte-garderie dans le quartier Kelle. Woluwe-Saint-Pierre offre des écoles de qualité dans chacun de nos quartiers. Le projet éducatif de nos écoles se fonde sur les notions de tolérance et de pluralisme. Il vise à préparer chaque enfant ou adolescent à son rôle de citoyen responsable dans un monde en pleine mutation. Nos écoles maternelles réservent une place de choix à la psychomotricité. Une attention toute particulière est accordée à la qualité de notre enseignement (coordination pédagogique, formation continue des enseignants,...), ainsi qu'à l'apprentissage des matières scolaires de base (lecture, écriture, mathématique). Nous veillons aussi à favoriser l'apprentissage des langues en confiant, dans toute la mesure du possible, les cours de langues à des maîtres spécialisés. Woluwe-Saint-Pierre est l'une des communes de la Région bruxelloise qui organise dans une école communale l'apprentissage en immersion linguistique. Dès la 3ème maternelle et progressivement d'année en année jusqu'en 6ème primaire, une équipe d'enseignants francophones et néerlandophones dispensent alternativement les cours à mi-temps en français et en néerlandais. Il n'y a donc pas de cours de néerlandais, mais des cours en néerlandais et bien sûr des cours en français, en veillant à ce que la culture française demeure la culture privilégiée de l'enfant. Nos écoles sont branchées sur le futur, de manière à tirer le meilleur parti des possibilités offertes par l'informatique et par l' e-éducation. Des actions visant à prévenir certains dangers (tabac, drogue, risques sur internet, etc.) sont régulièrement menées. Une nouvelle école des devoirs a été créée à Stockel, ainsi qu'un site internet ("Cabouge.be") pour les adolescents et leurs parents. Le Chalet Balis accueille un nouvel espace-jeunes, et un local informatique (avec accès à internet) a trouvé place à La Caverne, à Stockel. L'asbl WOLU-J organise de multiples activités qui remportent un franc succès, comme par exemple le "Carnaval de Woluwe-Saint-Pierre", l'activité sportive interscolaire "Allez les gosses", le programme "Echec à l'échec", le "Salon de la Magie" et la journée "Générations Ados". De leur côté, notre Académie de musique et notre Académie des Arts jouent un rôle essentiel dans l'épanouissement de près de 1.500 élèves qui s'y forment à environ 50 disciplines, dans les diverses antennes de nos différents quartiers, leurs multiples ateliers, classes de musique, de théâtre et de danse. Elles permettent aux jeunes (dès l'âge de 6 ans, voire même 5 ans pour certains cours), aux adultes et aux seniors de découvrir l'importance de la pratique artistique dans leur vie de tous les jours. Comme promis voici six ans, la rénovation complète de nos 9 crèches est aujourd'hui achevée. {{{ {{Nos objectifs}} }}} • mener à bon port un projet de "crèche modèle" pour remplacer la crèche "Les Coccinelles", en prévoyant notamment une augmentation de capacité ; • accroître encore notre capacité d'accueil et mieux répondre aux besoins des parents, grâce à des partenariats avec le privé ; • remplacer le pavillon Kelle par des infrastructures mieux adaptées, et développer une seconde halte-garderie dans le quartier du Chant d'Oiseau ; • poursuivre le développement de la qualité de notre enseignement, en particulier des matières de base et des langues ; • offrir à nos écoles un environnement de meilleure qualité encore, en lançant un nouveau programme de rénovation et d'équipement de nos écoles. Dans le prolongement des travaux de rénovation de nos crèches, nous lancerons sous la prochaine législature un programme analogue pour l'ensemble de nos écoles ; • favoriser davantage le retour des manuels scolaires dans les classes ; • poursuivre la modernisation constante et le renforcement de l'équipement informatique et pédagogique des écoles ; • ouvrir certaines cours de récréation aux jeux et au sport durant le week-end et les vacances uniquement aux endroits où cela ne peut gêner le voisinage ; • développer l'offre d'école des devoirs dans les quartiers du Centre et de Joli-Bois ; • créer un service 17-25 proposant aux jeunes des facilités en matière de vacances, sports, loisirs culturels ; • augmenter l'acquisition de matériel et d'instruments de musique pour nos académies ; • doter notre Académie de musique de davantage de locaux qui lui soient propres, afin d'améliorer le cadre de travail de ses élèves, ainsi que de ceux de l'école du centre ; • mettre encore mieux en valeur et exposer le fruit du travail des étudiants de nos académies ; • élargir les heures d'accès à l'Académie des Arts, afin de permettre à ses élèves, en particulier aux seniors, de fréquenter les ateliers en cours de journée.

Pour une commune citoyenne, solidaire, volontaire et respect?e, premi?re affirmation de la d?mocratie.

{{{ {{Introduction}} }}} Le FDF a toujours joué un rôle très important au niveau des politiques communales dans l'agglomération bruxelloise. Pour le FDF, la commune est le pouvoir de proximité le mieux connu des citoyens ; leur confiance dans le fonctionnement des institutions démocratiques est confortée par la qualité des services rendus par les autorités locales et la capacité que doit avoir tout élu local d'être à la disposition de ses concitoyens. Présent dans pas moins de douze majorités sur dix-neuf communes et fort de 100 conseillers communaux, le FDF entend continuer à privilégier les axes fondamentaux suivants : - information, participation et concertation du plus grand nombre de citoyens au développement de leur cadre de vie. - mise en œuvre d'une politique culturelle engagée, diversifiée et dotée de moyens à la hauteur de ses ambitions. - attachement profond à l'émancipation des personnes, concrétisée par de nombreuses initiatives en matière de jeunesse, de sport, d'intégration, de petite enfance, de recherche d'emploi. - un souci constant d'une gestion saine et équilibrée des finances communales. - un service public performant, plus particulièrement en matière de sécurité, d'aide aux personnes, au sein duquel les exigences linguistiques pour le personnel doivent être adaptées à la nécessité d'assurer les missions dévolues par la loi. Les élections communales du 8 octobre 2006 constitueront un moment très important pour la vie du parti : le FDF, parti municipaliste par excellence, entend démontrer une fois encore sa capacité à mettre en œuvre une politique citoyenne, soucieuse de la diversité culturelle mais également de la réalité majoritairement francophone de l'agglomération bruxelloise, qui constitue un premier rempart contre les extrémismes. {{ {{{Une philosophie}}} }} Le FDF plus que jamais garant de l'autonomie communale. A cet égard, le FDF continuera à refuser de participer à toutes démarches visant à opérer une fusion des communes au sein de l'agglomération bruxelloise. D'une part, cela aurait pour conséquence de renforcer le vote d'extrême-droite à Bruxelles : en effet, un manque de dialogue régulier et étroit avec les citoyens peut conduire à des dérives vers les partis extrémistes. D'autre part, cela ne ferait que conforter les partis flamands qui exigeront de ce fait une représentation garantie pour les néerlandophones dans les collèges échevinaux, les conseils communaux, et les conseils d'action sociale, calquée sur leur représentation garantie au niveau du Parlement bruxellois. Le FDF, ardent défenseur du principe de l'autonomie communale, estime que la proximité du citoyen est le seul paramètre qui permette de prendre en considération les problèmes concrets auxquels il est confronté. {{{ {{Un objectif}} }}} Vers une clarification des compétences entre la Région bruxelloise et les 19 communes. Ce débat aussi vieux que l'existence de la Région n'a jamais fait l'objet d'un véritable consensus. Pourtant, dans certaines matières, il existe un chevauchement de compétences qui engendre perte d'énergie et procédures administratives longues et fastidieuses (exemple : la politique des travaux subsidiés). Le FDF est partisan de mettre fin à des concurrences paralysantes et d'accroître tantôt l'autonomie de la Région dans l'exercice de certaines de ses compétences par rapport aux communes, tantôt de renforcer l'autonomie des communes car elles doivent mieux servir les attentes de leur population. Pour ce faire, le principe de subsidiarité doit être scrupuleusement respecté : le principe de subsidiarité territoriale, envisagé sous l'angle des compétences et des moyens dévolus aux collectivités locales, se définit comme la ligne de conduite selon laquelle les collectivités fédérales et fédérées n'interviennent qu'en second ordre par rapport aux collectivités locales. En application de ce principe, il convient de réserver aux communes les missions qui sont les plus directement en rapport avec les services à rendre à la population, sans pour autant réduire celles-ci à des guichets administratifs et qu'elles se voient privées de moyens et de capacité de mener leurs politiques propres, plus particulièrement en matière sociale, d'emploi, culturelle, ou encore d'aménagements de l'espace public. Encore faudrait-il que les services à rendre à la population, qui sont assumés pour compte d'autorités supérieures, soient financés, en tout ou en partie, par une dotation particulière de ces autorités qui imposent ces missions aux autorités locales (exemple : opération de régularisation des clandestins, certains types d'interventions des CPAS). Le FDF demande qu'une étude spécifique évalue le coût budgétaire incombant aux communes et résultant des missions qu'elles assument en tant qu'autorités relais des autorités supérieures. {{{ {{Une nécessité}} }}} Pour des communes partenaires de la Communauté française. Les communes, en principe, entretiennent deux types de relations avec les Communautés. o d'une part, les Communautés peuvent charger les communes de l'exécution d'aspects de politiques qu'elles mènent. o d'autre part, les communes, qui jouissent de l'autonomie communale, peuvent prendre des initiatives dans les matières communautaires : elles doivent dans ce cas respecter la législation établie par les Communautés et se soumettre à leur tutelle ; de surcroît, elles peuvent solliciter leur intervention ou s'associer au sein d'intercommunales pour mener à bien leurs initiatives. A l'heure où la Communauté flamande multiplie les initiatives auprès des communes afin de renforcer son influence et son droit de regard sur la gestion communale (par l'intermédiaire plus particulièrement de l'échevin néerlandophone), le FDF entend que les communes bruxelloises renforcent leur collaboration avec les institutions francophones (Communauté française et Commission communautaire française) pour asseoir de nouvelles politiques susceptibles de renforcer la présence francophone dans les communes.

Des finances saines et une administration efficace

{{{ {{Notre évaluation de la situation actuelle}} }}} Des moyens financiers suffisants sont la base de toute action. Pour les six dernières années, nous avons réalisé des investissements considérables, quasi sans aide des pouvoirs subsidiants. Deuxième commune la moins imposée de la Région, nous sommes en mesure de poursuivre notre politique d'amélioration et de création de services et d'infrastructures. En effet, au cours de la mandature écoulée, notre endettement, déjà très raisonnable, s'est encore réduit de 14% en terme réel. Nous avons également constitué des réserves destinées à autofinancer nos projets. Rares sont les pouvoirs publics qui peuvent se targuer de vingt-quatre années de stabilité financière et d'autant de boni budgétaires successifs. Ceci est la meilleure garantie de réalisation de l'ensemble de notre programme et du maintien d'une des fiscalités les plus faibles en Région bruxelloise. La construction d'une administration à distance avec guichets électroniques, le service permanent 24h/24 et 7j/7, et plusieurs applications de l'e-government ont été réalisés en vue de simplifier les procédures administratives et de rapprocher le citoyen de l'administration communale. Le site internet de la commune a été totalement rénové. Un système de paiement électronique y a été intégré. Notre commune a été primée, notamment par la Fédération Agoria, pour son efficacité dans l'utilisation des nouvelles technologies. En vue d'éviter la « fracture numérique », des salles multi-media avec accès à internet ont été ouvertes dans les différents quartiers de la commune, des formations à la vulgarisation de l'utilisation des nouvelles technologies ont été organisées. Un effort particulier a été fait en matière de participation et d'information des citoyens. Ainsi, le système de stationnement dans chacune de nos artères peut être modifié sur base d'une demande de plus de 60% des habitants de la rue. Sauf raison impérative de sécurité, tous les aménagements d'espaces publics sont soumis préalablement à une large concertation auprès des riverains. Nous avons veillé à ce que l'administration travaille en toute transparence et que chaque habitant puisse facilement avoir accès à tous les documents administratifs le concernant. {{{ {{Nos objectifs}} }}} • maintenir le budget en équilibre constitue la meilleure garantie du maintien d'un maximum d'autonomie communale et d'une fiscalité parmi les plus basses de Bruxelles ; • extension des services rendus à distance, qui permettra la mise en place d'un système de consultation permanente par voie électronique (e-democratie) ; • accessibilité des nouvelles technologies de communication pour tous les publics (conseils, formations, etc.) ; • équipement des différents bâtiments communaux accessibles au public, à l'internet sans fil (wifi) ; • implication du monde associatif à la rédaction du site internet de la commune pour assurer une meilleure information et la promotion de leurs activités ; • amélioration de l'accueil au Service de la Population afin d'assurer un meilleur respect de la vie privée et un traitement plus individuel des demandes ; • notre administration doit rester une maison de verre. La gestion de la commune est l'affaire de tous les citoyens qui doivent pouvoir exercer un contrôle permanent sur son bon fonctionnement.

Un environnement ? pr?server globalement

{{{ {{Notre évaluation de la situation actuelle}} }}} Woluwe-St-Pierre reste, en terme de qualité de vie de ses habitants, la commune la plus recherchée à Bruxelles, ce qui, très logiquement, se reflète dans les prix demandés sur le marché immobilier... Cependant, le doublement en moins de vingt ans de la circulation automobile et du trafic aérien, a des conséquences directes sur le bruit qui nous perturbe et la qualité de l'air que nous respirons. Malgré un soutien communal sans faille au combat opiniâtre contre les nuisances d'un trafic aérien inéquitablement réparti, la situation ne s'est pas améliorée vu la confiscation du dossier par des ministres sp.a au fédéral et l'incapacité du gouvernement bruxellois actuel à faire respecter les normes de bruit dont la légalité a pourtant été confirmée par le Conseil d'Etat. La récente augmentation des prix du pétrole et ses conséquences en chaîne, les modifications climatiques de plus en plus évidentes et le respect des objectifs du protocole de Kyoto, ratifié par la Belgique, nécessitent d'accélérer et d'amplifier notre programme d'utilisation rationnelle de l'énergie. En matière de collecte des déchets, Woluwe-St-Pierre est la seule commune bruxelloise à s'être dotée de bulles à verre enterrées (moins de bruit et plus esthétique !) et est une des très rares communes à disposer d'une déchetterie complète qui connaît un énorme succès. Globalement, notre commune a plusieurs fois été classée (notamment par Test-Achats) comme celle dont les espaces publics étaient les plus propres à Bruxelles. Cependant, et malgré des actions de persuasion (e.a. distribution de « sacs ramasse crottes » et panneaux incitatifs), il faut bien reconnaître que le problème de la pollution canine n'est pas encore résolu. Enfin, depuis 2005, la commune a repris un programme d'envergure afin d'améliorer l'entretien, le remplacement et l'extension de son patrimoine végétal avec la volonté d'en améliorer la qualité et l'esthétique. {{{ {{Nos objectifs}} }}} • compléter l'audit énergétique et désigner un responsable « économies d'énergie » pour tous les bâtiments communaux afin de déterminer et de mettre en œuvre les investissements d'isolation et de régulation les plus rentables dans le but de diminuer la charge budgétaire et de promouvoir l'éco-consommation ; • installation de chauffe-eau solaires dans les crèches et au magasin communal ; • acquisition de véhicules hybrides (les véhicules électriques achetés précédemment n'ont pas donné satisfaction) ; • sensibiliser la population, les écoles et les fonctionnaires communaux à l'adoption au quotidien de comportements favorisant le développement durable (conseils, aide à l'obtention de primes, diagnostic des habitations, etc.) ; • poursuivre sans relâche, sur les plans juridique et politique, notre combat pour promouvoir un mode d'exploitation de l'aéroport national plus respectueux du sommeil des riverains et une répartition équitable du trafic diurne. • faire appliquer effectivement les dispositions du règlement de police en matière de bruit , quelle que soit son origine ; • amplifier le programme de renouvellement et d'amélioration qualitative de nos arbres d'alignement (meilleure implantation lors des rénovations de trottoirs, choix d'essences adaptées, etc.) ; • parallèlement aux collectes organisées par l'Agence Bruxelles Propreté et à la déchetterie communale, nous réintroduirons un système d'enlèvement à domicile des encombrants pour les personnes qui ne disposent pas d'un véhicule. La gratuité sera étendue pour la collecte des déchets chimiques et des aérosols ; • sensibilisation accrue aux conséquences de la pollution canine en responsabilisant les maîtres et, au besoin, en appliquant le règlement de police.

Les nuisances des bruits d'avions

{{{ {{En matière de nuisances aériennes, concrètement la Liste du Bourgmestre préconise}} }}} - l'installation permanente de plusieurs sonomètres mesurant les niveaux de bruit des survols d'avions sur le territoire de la commune - la création d'une autorité indépendante et neutre de contrôle et de médiation, chargée de répondre aux plaintes, de constater toutes les infractions aériennes et de dresser des amendes à l'égard des compagnies contrevenantes - l'utilisation accessoire de la piste d'atterrissage 02 uniquement comme piste alternative de secours ou dans des circonstances atmosphériques exceptionnelles - l'interdiction de l'utilisation intensive de la courte et dangereuse piste 20 pour les décollages la nuit et le week-end - la réalisation d'une cartographie du bruit, quartier par quartier, afin d'objectiver les nuisances subies par les survols d'avions - l'instauration d'un dispositif de restriction de nuit, en début de matinée et en soirée pour les avions les plus bruyants - une meilleure organisation du trafic aérien, par des couloirs aériens qui privilégient le survol des zones industrielles, non bâties ou à faible densité de population - la suppression définitive de la politique de dispersion tout azimut des nuisances aériennes (initiée très malheureusement par la Ministre Ecolo Durant et amplifiée depuis par les ministres sp.a Anciaux et Landuyt) ;

Mobilit? et am?nagement de l'espace public

{{{ {{Notre évaluation de la situation actuelle}} }}} A l'instar de la plupart des communes urbaines, Woluwe-St-Pierre doit faire face à l'inadaptation d'un réseau routier qui n'a pas été conçu pour absorber un nombre aussi important de véhicules. Les problèmes de stationnement étaient quasi inexistants à Woluwe-St-Pierre il y a encore quelques années. Ils deviennent de plus en plus répandus, ce qui nous a obligé à réglementer le stationnement dans un nombre de rues sans cesse croissantes. Outre les problèmes de congestion des grands axes à certaines heures, il y a aujourd'hui des embouteillages récurrents, particulièrement le matin dans le quartier de la place Dumon. La commune n'ayant pas d'action directe sur le nombre de véhicules en circulation, nous ne pouvons qu'apporter des solutions ponctuelles pour atténuer localement certains problèmes qui sont générés par le fait qu'en moins de vingt ans, le nombre de véhicules circulant sur le territoire de la commune a plus que doublé ! En matière de transport public, notre commune s'est toujours montrée très réceptive à l'amélioration des conditions de circulation de ceux-ci, afin d'en augmenter l'attractivité (télécommande des feux de signalisation, réduction du nombre de traversées des sites propres de tramways, etc.). Lors des réaménagements récents de voiries (avenue d'Huart, avenue Jules César, etc.), des couloirs cyclables ont été systématiquement prévus. En outre, la quasi-totalité des sens uniques de la commune a été limitée à la seule circulation automobile permettant aux cyclistes de circuler plus commodément. {{ {{{Nos objectifs}}} }} • outre l'augmentation de capacité du parking régional de dissuasion à Kraainem, dont le principe est actuellement acquis, la commune entend trouver, grâce à un financement privé, la possibilité de doubler en souterrain les capacités du parking du Stockel Square, tout en veillant à améliorer son accès piétonnier depuis la place Dumon ; • réaménagement de la partie commerciale de la rue de l'Eglise en zone confort afin d'améliorer sa convivialité commerciale ; • maintenir une priorité du stationnement aux riverains directs et aux clients des commerces ; • lors de tout nouvel aménagement, avoir systématiquement égard aux cyclistes (couloir réservé, parking deux-roues à proximité de chaque espace commercial, etc.) ; • continuer l'extension des zones 30 dans l'ensemble de nos voiries réservées au trafic local ; • multiplier, sur les voiries inter-quartier, les dispositifs préventifs en matière d'excès de vitesse (indicateur de vitesse lumineux et réaménagement des carrefours pour faire respecter effectivement la limite à 50 km/h) ; • suite de la rénovation de certaines voiries comprenant entre autres : - l'achèvement du réaménagement de l'avenue Grandchamp (entre Sittelles et rue au Bois) - les avenues des Alezans, des Jockeys et des Obstacles - la rue Eggericx - certaines artères du quartier St-Paul (avenues des Ajoncs, des Châtaigniers et des Orangers) - remise en état du pavage de l'avenue Mostinck ; • modification de notre règlement sur l'entretien des trottoirs pour faire en sorte que d'alignement à alignement, ce soit au gestionnaire de la voie publique à les maintenir en bon état et, au besoin, à les rénover. Seuls le nettoyage et le déneigement resteraient à charge des propriétaires riverains. Aujourd'hui 75% des trottoirs sont en bon état à Woluwe-St-Pierre. Notre ambition est que dans six ans, les autres 25% le soient aussi ; • organiser une meilleure concertation avec la commune de Woluwe-St- Lambert afin de réaménager certaines voiries et carrefours limitrophes (carrefour Konkel/Jasmin, rue Konkel, partie basse de la rue de la Cambre, etc.) ; • création d'une équipe d'intervention rapide pour les petites réparations en voirie demandées par les habitants à l'aide d'un « numéro vert » ; • en ce qui concerne les lignes des trams 39 et 44, il faut se rendre à l'évidence que la station Montgomery en restera le terminus, les diverses études de prolongement vers Merode ayant mis en évidence la quasi impossibilité technique de ce projet. Dans ce contexte, nous avons obtenu la promesse qu'à bref délai, du matériel roulant bidirectionnel serait utilisé, permettant la sortie ET l'entrée par la trémie de l'avenue de Tervueren, ce qui soulagera les riverains de la rue G. et J. Martin ; • la commune soutiendra, en outre, tous les efforts qui seront entrepris pour améliorer le transport public dans l'axe de la vallée de la Woluwe afin d'assurer des communications directes vers Ixelles d'une part, Woluwe-St-Lambert et l'aéroport de l'autre. {{{ {{Quelques promesses projets ponctuelles}} }}} 1. La plaine de jeux à l'angle de l'avenue Grandchamp et du Val des Seigneurs sera maintenue telle quelle. Un parc sera aménagé à l'arrière du Val des Seigneurs avec un espace canin, à l'instar du parc Montsanto. 2. Le programme de lutte contre les inondations sera poursuivi, notamment par le prolongement dans l'avenue du Manoir d'Anjou du collecteur de grande dimension qui vient d'être réalisé avenue de Tervueren et au bas de l'avenue Madoux. 3. La commune ayant acquis récemment les terrains permettant d'établir une liaison entre ses deux cimetières, il y sera réalisé, en outre, un espace d'accueil pour le funérarium. 4. Suite au récent classement de l'Auberge des Maïeurs et de la Cure St-Pierre, ces biens qui constituent les plus anciens bâtiments de la commune, seront entièrement restaurés et retrouveront leur éclat d'antan. 5. Tous les espaces publics dans et autour des Venelles feront l'objet d'une rénovation complète comprenant, entre autres, l'amélioration des revêtements et le renouvellement complet de l'éclairage public en respectant la spécificité de cet ensemble.

La s?curit? : une priorit? et un droit pour tous

{{{ {{Notre évaluation de la situation actuelle}} }}} Il serait utopique de croire que, quels que soient l'importance et la nature des moyens mis en œuvre, il est possible d'échapper à toute forme de criminalité. La délinquance dépend largement de phénomènes de société sur lesquels la commune n'a qu'une influence limitée. Dire que la mandature qui s'achève n'a pas posé de problèmes à notre commune serait trahir la vérité. La mise en place de la réforme des polices, initiée suite aux dysfonctionnements stigmatisés lors de « l'affaire Dutroux », ne s'est pas faite sans mal. Cette réforme visait à une meilleure intégration des services de police et à améliorer les moyens affectés à la police de proximité. Malgré les aléas dus à une réforme mal préparée et précipitée, nous nous sommes retrouvés dans la zone Montgomery avec Woluwe-St-Lambert et Etterbeek pour le meilleur et pour le pire. Beaucoup d'énergie a été consacrée à la mise en place de la nouvelle structure et l'effectif est rapidement passé de 367 unités en 2002 à 473 aujourd'hui, ce qui permet d'espérer un mieux pour l'avenir. Cependant et à juste titre, certains habitants continuent à se plaindre d'une police souvent perçue comme trop administrative, trop peu en contact avec la population ou se déplaçant à vive allure uniquement en voiture... Si la criminalité (principalement le vol dans les habitations) est encore trop élevée dans notre commune, il faut admettre que nous restons privilégiés par rapport à beaucoup d'autres entités en ce qui concerne les agressions les plus violentes. Le nouveau règlement de police, commun aux trois communes de la zone Montgomery, devrait être mieux respecté dans les faits. C'est dans cette optique qu'à côté de la police, la commune s'est dotée des moyens de constater et de sanctionner la petite délinquance, les incivilités ou le non-respect de notre environnement. Dans le cadre du contrat de prévention, des assistants de prévention et de sécurité sont quotidiennement présents aux abords des écoles, dans les quartiers commerciaux et dans les parcs, notamment à l'heure du midi. Enfin, la mise en œuvre d'un réseau d'alerte et de surveillance dans les pharmacies et les librairies « Télé-police » n'a pas rencontré le succès espéré. Ce service (payant) doit être réévalué. {{{ {{Nos objectifs}} }}} • accentuer davantage la présence policière visible sur le terrain (rôle renforcé des agents de quartier, rondes régulières à pied, à vélo ou à mobylette et recréation d'une brigade canine) ; • sécurisation accrue des stations de métro Montgomery et Stockel en collaboration avec la STIB (multiplication des caméras, présence policière en civil et en uniforme, stewards, etc.) ; • multiplication des caméras de surveillance aux points sensibles et affectation stable des agents de quartier à des secteurs du territoire communal clairement identifiés avec nécessité d'effectuer des prestations à horaire décalé (soir, week-end) ; • concrétisation de la décision prise de faire gérer par une société privée, disposant d'une permanence 24h/24h dans la commune, les systèmes d'alarme déjà installés dans plus de 3.500 habitations à Woluwe-St-Pierre (rapidité d'intervention, collaboration accrue avec la police locale, coût réduit grâce aux économies d'échelle ainsi réalisées, etc.) ; • dans deux ans, notre police sera à nouveau mieux accessible aux habitants, dans des locaux adaptés à l'Hôtel communal ; • rendre les agents de prévention communaux et les « hommes verts » plus polyvalents et mieux encadrés en leur confiant aussi des tâches de gardien de parc ou de plaine de jeux, de lutte contre le vandalisme. En conclusion, nous avons peu de prise, à l'échelon local, sur les causes même de criminalité (grands et petits délits confondus). Par la mise en place d'un dispositif intégré de dissuasion active, nous voulons considérablement atténuer le sentiment d'impunité qui, souvent, prévaut aujourd'hui.

Solidarit? nord-sud et relations internationales

Depuis 2000, la commune a triplé les moyens consacrés au jumelage avec le district rwandais de Ruyumba (aides médicales, parrainage annuel de 54 élèves, fourniture de livres scolaires, initiation à l'utilisation des nouvelles technologies, etc.). Cette politique de coopération et de solidarité avec les entités locales de pays aussi dépourvus que le Rwanda sera poursuivie. Notons que pour les autres jumelages (avec la commune roumaine de Pecica, la commune louisianaise de la Nouvelle Ibérie, le district chinois de Chaoyang et la ville sud-coréenne de Gangnam), de nombreux jeunes wolusanpétrusiens ont pu s'y rendre afin d'y mener à bien des projets de coopération ou de s'initier à la culture de ces différents pays. L'ensemble de cette politique a été supervisé par un conseil citoyen qui vise à y associer un maximum d'habitants de la commune.

L'action sociale et la politique de l'emploi

{{ {{{Notre évaluation de la situation actuelle}}} }} Au cours des six dernières années, un effort considérable a été fait dans l'ensemble des matières sociales gérées par notre CPAS. Le budget de l'aide sociale est passé de 2.959.849 € en 2000 à 5.242.000 € en 2006. La résidence Roi Baudouin a été complètement rénovée entre 2001 et 2005. Près de 200 seniors y vivent aujourd'hui dans d'excellentes conditions de confort. La rançon de ce succès est malheureusement la longueur des listes d'attentes pour y être admis... Depuis 2000, le nombre de personnes mises au travail annuellement par le CPAS (article 60) est passé de 14 à 50. Parmi ceux-ci, 38% ont trouvé, grâce à cette expérience, un emploi stable à la fin de leur contrat. En 2000, le CPAS disposait de deux maisons lui permettant de loger au maximum 10 personnes. Aujourd'hui, il est capable de loger, dans des situations de dépannage ou de crise, à un prix raisonnable, 80 personnes. Le service des repas sur roues a été réorganisé en partenariat avec le privé. L'offre de service à domicile a été développée grâce au « Coup de Pouce de Woluwe-St-Pierre » et à la « Glisse du Linge » (service de repassage). Nous avons aussi voulu offrir aux jeunes qui dépendent du CPAS, une rampe de lancement pour qu'ils puissent intégrer à terme le marché du travail. Ainsi, 60 étudiants de l'enseignement secondaire ou supérieur sont actuellement soutenus. 75% de ceux-ci réussissent leurs études et acquièrent un solide bagage pour se lancer dans la vie active. Le CPAS joue aussi pleinement son rôle de solidarité en aidant plus de 660 personnes chaque année. Le service communal de l'Emploi a organisé l'accompagnement des demandeurs d'emploi et des personnes désireuses de se réorienter professionnellement, avec un taux de réussite de plus de 70 %. Une infrastructure adaptée a été mise à la disposition de ceux qui recherchent activement un emploi (internet, réalisation de documents de qualité, etc.). Chaque année, un Salon de l'Emploi a été organisé avec une attention plus ciblée vers les employeurs locaux. {{{ {{Nos objectifs}} }}} • création d'un numéro d'appel unique afin d'orienter au mieux les demandes. La création d'un « guichet unique » communal permettra d'indiquer à chaque habitant qui en éprouve le besoin, où trouver l'assistance que sa situation requiert • mise en service d'une navette communale qui permettra de véhiculer les personnes à mobilité réduite pour leur permettre d'accéder aux différents services communaux ; • création d'un service de parrainage intergénérationnel (lecture, visite et accompagnement, etc.) et la guidance par des (pré)pensionnés pour des jeunes souhaitant se lancer dans la vie professionnelle ou poursuivre des études ; • en partenariat avec le secteur privé, nous voulons offrir des nouveaux lieux d'hébergement pour les seniors et, surtout, développer, avec l'aide du privé, les services d'aide à domicile en partenariat avec les sociétés qui oeuvrent dans ce domaine afin de permettre, autant que possible, le maintien à domicile ; • accroissement des partenariats privé-public locatifs, notamment dans le cadre de la réaffectation d'immeubles vides ou à l'abandon ; • développer l'utilisation des titres-services en collaboration avec le CPAS ; • suite à la suppression du pointage des chômeurs, le service communal de l'Emploi sera recentré sur l'accompagnement des demandeurs d'emploi pour les rendre « professionnels de la recherche » et améliorer leur motivation.