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Effet sur l'emploi bruxellois de l'implantation à Anderlecht d'un complexe commercial de 5000 m2 de la société Decathlon-Benelux.

L'implantation de la grande surface Decathlon-Benelux à Anderlecht a déjà suscité de nombreux débats divers et variés. Aujourd'hui, cette société s'implante en Région bruxelloise. Le Ministre de l'Emploi, à l'occasion de la décision finale, a déclaré explicitement qu'il existait un accord avec la société pour privilégier l'engagement de travailleurs bruxellois. Si cet engagement est respecté, il s'agit d'une opération intéressante, surtout que le profil du personnel travaillant dans une grande surface ne nécessite pas, pour une majorité de ses fonctions, une grande qualification. Cette particularité est positive étant donné que la majorité des demandeurs d'emploi bruxellois sont peu qualifiés. Sur la base d'informations diffusées présentant des perspectives d'emplois dans cette grande surface, il s'avère que les deux langues de la Région sont utilisées, avec en tête le néerlandais. S'il est normal que les langues régionales officielles sont ainsi utilisées, il est par contre étonnant de voir l'ordre des langues qui ne correspond nullement à l'ordre logique, étant donné que 90% des bruxellois sont francophones, statistiques similaires pour la répartition linguistique des demandeurs d'emploi en Région bruxelloise. Le Ministre peut-il préciser la façon dont il s'assure du respect de l'engagement de la société de recruter des demandeurs d'emplois ? Le Ministre peut-il préciser le nombre de bruxellois ainsi recrutés, leur appartenance linguistique et le type de fonction qu'ils assurent ? Le Ministre peut-il préciser les exigences linguistiques demandées lors du recrutement ? Pour obtenir le texte complet de la question et la réponse, allez à la page 66 du document que vous obtiendrez en cliquant ici.